Μετά από τις εκατοντάδες δημοσιεύσεις και ακτιβιστικές δράσεις στο Βέλγιο για να εξηγήσουν τι είναι το PAS - Parental Alienation Syndrom) Σύνδρομο Γονικής Αλλοτρίωσης-Αποξένωσης, πέρισυ, ψηφίστηκε ο νόμος για την συνεπιμέλεια που είχες απεριόριστα ευεργετικά αποτελέσματα. Ηταν από τις τελευταίες χώρες που υιοθέτησαν την ΣΥΝΕΠΙΜΕΛΕΙΑ ως καταλληλότερη λύση (από όλες που είναι επίσης κακές).
Un père, détesté par ses enfants, raconte L.B. Mis en ligne le 11/11/2002
Privé de ses enfants, retenus quatre ans au Kenya, Olivier Limet est un père aliéné. Il a retrouvé ses aînés, pas le cadet. Et la vie demeure très difficile.
Souvent relatée par les médias, l'histoire d'Olivier Limet est peut-être connue. Devenu, malgré lui, le symbole du parent victime de rapt international, il est aussi ce qu'on appelle un parent aliéné, puisque son ancienne femme le dénigre totalement auprès de ses enfants.
C'est dans le cadre de notre article sur le syndrome d'aliénation parentale que nous l'avons rencontré.
Voici un bref rappel des faits: l'ex-femme d'Olivier Limet part au Kenya en 1994 et laisse la garde de ses enfants à son ex-mari. De 1994 à 1998, les enfants vont régulièrement au Kenya.
En 1998, ils n'en reviennent pas et Olivier Limet devra attendre quatre ans, et un certain 11 septembre 2001, pour récupérer les deux aînés, Coralie, alors âgée de 15 ans, et Jim, 14 ans, tandis que Samuel, 10 ans, est toujours retenu là-bas.
Dix SMS par jour
Un paquet de plus de 80 lettres sous le bras, envoyées en cinq semaines et toutes numérotées par son ex-épouse, Olivier Limet nous fait lire quelques passages qui en disent long sur la mauvaise opinion qu'a son fils cadet de lui. Il a été confronté à la même hostilité lorsque ses deux aînés sont revenus du Kenya, d'autant que Jim, qui avait pourtant quitté la Belgique à 12 ans, était convaincu qu'il était né au Kenya et qu'il y avait toujours vécu.
Les premiers mois ont été difficiles. `J'ai beaucoup souffert, nous dit Olivier Limet. C'est sans doute l'humour qui nous a sauvés.´
Certes, ces retrouvailles difficiles -la mère de Coralie envoie encore une dizaine de SMS à sa fille chaque jour- n'étaient rien au regard de l'angoisse et de la réelle souffrance d'Olivier Limet, lorsqu'il était sans nouvelle de ses enfants, sans même savoir s'ils étaient encore en vie.
`Quand on a un enfant mort, on peut en faire le deuil, moi pas. Cette terrible phrase, j'ose la dire, car elle me vient précisément d'un homme qui a perdu un enfant. À part cela, j'ai vécu un véritable épuisement psychique. Il est difficile de se rendre compte qu'on s'éloigne chaque jour d'enfants qui apprennent à vous détester.´
© La Libre Belgique 2002 http://www.lalibre.be/societe/sciences-sante/article/89050/un-pere-deteste-par-ses-enfants-raconte.html
Un père, détesté par ses enfants, raconte L.B. Mis en ligne le 11/11/2002
Privé de ses enfants, retenus quatre ans au Kenya, Olivier Limet est un père aliéné. Il a retrouvé ses aînés, pas le cadet. Et la vie demeure très difficile.
Souvent relatée par les médias, l'histoire d'Olivier Limet est peut-être connue. Devenu, malgré lui, le symbole du parent victime de rapt international, il est aussi ce qu'on appelle un parent aliéné, puisque son ancienne femme le dénigre totalement auprès de ses enfants.
C'est dans le cadre de notre article sur le syndrome d'aliénation parentale que nous l'avons rencontré.
Voici un bref rappel des faits: l'ex-femme d'Olivier Limet part au Kenya en 1994 et laisse la garde de ses enfants à son ex-mari. De 1994 à 1998, les enfants vont régulièrement au Kenya.
En 1998, ils n'en reviennent pas et Olivier Limet devra attendre quatre ans, et un certain 11 septembre 2001, pour récupérer les deux aînés, Coralie, alors âgée de 15 ans, et Jim, 14 ans, tandis que Samuel, 10 ans, est toujours retenu là-bas.
Dix SMS par jour
Un paquet de plus de 80 lettres sous le bras, envoyées en cinq semaines et toutes numérotées par son ex-épouse, Olivier Limet nous fait lire quelques passages qui en disent long sur la mauvaise opinion qu'a son fils cadet de lui. Il a été confronté à la même hostilité lorsque ses deux aînés sont revenus du Kenya, d'autant que Jim, qui avait pourtant quitté la Belgique à 12 ans, était convaincu qu'il était né au Kenya et qu'il y avait toujours vécu.
Les premiers mois ont été difficiles. `J'ai beaucoup souffert, nous dit Olivier Limet. C'est sans doute l'humour qui nous a sauvés.´
Certes, ces retrouvailles difficiles -la mère de Coralie envoie encore une dizaine de SMS à sa fille chaque jour- n'étaient rien au regard de l'angoisse et de la réelle souffrance d'Olivier Limet, lorsqu'il était sans nouvelle de ses enfants, sans même savoir s'ils étaient encore en vie.
`Quand on a un enfant mort, on peut en faire le deuil, moi pas. Cette terrible phrase, j'ose la dire, car elle me vient précisément d'un homme qui a perdu un enfant. À part cela, j'ai vécu un véritable épuisement psychique. Il est difficile de se rendre compte qu'on s'éloigne chaque jour d'enfants qui apprennent à vous détester.´
© La Libre Belgique 2002 http://www.lalibre.be/societe/sciences-sante/article/89050/un-pere-deteste-par-ses-enfants-raconte.html
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